Benchmark Tagaday : Les médias locaux, premiers fans des festivals

Comparatif de la couverture médiatique régionale et nationale Eurockéennes vs Main Square

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La couverture médiatique est un élément central pour les événements culturels, en particulier les festivals de musique. Leur renommée, leur attrait et leur influence en dépendent, tant à l'échelle régionale que nationale. Étudier l'impact médiatique d'un festival permet de comprendre son implantation locale, sa capacité à attirer l'attention des médias et, plus largement, son rôle dans le paysage culturel français.

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Dans le cadre de ce benchmark, Tagaday, 1ère plateforme de veille et d'analyse médias, a comparé deux festivals emblématiques du paysage musical français : les Eurockéennes de Belfort (du 3 au 6 juillet 2025) et le Main Square Festival d'Arras (du 4 au 6 juillet 2025).

L'étude s'appuie sur le nombre de retombées médiatiques, tous supports confondus, télévision, radio, presse écrite (imprimée et en ligne) en distinguant la couverture régionale de la visibilité nationale sur la période allant du 21 juin au 20 juillet 2025, soit avant, pendant et après les deux événements.

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Deux festivals, deux niveaux de visibilité :

Benchmark quantitatif des retombées médiatiques régionales et nationales

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L’analyse met en évidence des écarts significatifs de couverture médiatique entre les deux festivals. À l’échelle globale, les Eurockéennes bénéficient d’une visibilité plus importante, avec près de 3 500 retombées contre environ 650 pour le Main Square Festival.

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Cette tendance se retrouve également dans les médias régionaux, où les Eurockéennes enregistrent plus de 2 600 mentions, contre un peu plus de 300 pour le Main Square.

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En termes de répartition par famille de médias, les retombées médiatiques régionales représentent 46% du total des retombées du Main Square, contre 74% pour les Eurockéennes, soulignant ainsi l'ancrage territorial plus marqué du festival de Belfort qui conserve une position dominante en volume de retombées médiatiques, aussi bien sur le plan régional que global.

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Ces données sont illustrées dans le graphique comparatif ci-dessus, ainsi que dans les deux cartes de France ci-après, représentant la répartition géographique des retombées médias par département.

On y observe une forte concentration autour des zones d'implantation des festivals – les régions du Grand Est et de la Bourgogne-Franche-Comté pour les Eurockéennes et les Hauts-de-France pour le Main Square.

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Poids médiatique des têtes d’affiche partagées entre les Eurockéennes et le Main Square

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Le graphique ci-dessous met en évidence les retombées médiatiques globales générées par les trois artistes programmés à la fois aux Eurockéennes de Belfort et au Main Square Festival d'Arras : DJ Snake, Clara Luciani et Last Train.

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Clara Luciani enregistre le plus grand nombre de retombées médias globales. Elle est suivie de près par DJ Snake qui, malgré sa deuxième position, enregistre les deux plus grands pics de retombées médias sur deux journées. Last Train reste, quant à lui, en retrait.

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Résonance régionale des artistes présents dans les deux festivals

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Examinons à présent la portée médiatique régionale de chacun de ces artistes après leurs performances dans les deux événements.

• DJ Snake s'est produit le 4 juillet 2025 aux Eurockéennes et le 6 juillet au Main Square Festival.
• Clara Luciani est montée sur scène le 5 juillet aux Eurockéennes et le 4 juillet au Main Square.
• Last Train a joué le 5 juillet aux Eurockéennes et le 4 juillet au Main Square Festival.

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Le graphique suivant met en lumière les retombées médiatiques régionales générées par leur participation à chacun des festivals. Dans l'ensemble, les Eurockéennes génèrent une couverture régionale plus importante pour les trois artistes, en comparaison avec le Main Square Festival.

DJ Snake comptabilise le plus grand nombre de retombées médiatiques régionales.

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Méthodologie :

L'analyse des retombées nationales se repose sur un échantillon de 410 chaînes et stations TV/radio (plus de 5 500 programmes différents pour 2 400 heures par jour indexés en temps réel), et 3 000 titres de la presse française et sites du web éditorial.

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En parallèle, l'analyse de la couverture dans les médias régionaux : presse quotidienne et hebdomadaire (écrite, imprimées et en ligne), télévision et radio, s'appuie sur une sélection ciblée de titres régionaux représentatifs, permettant de mesurer l'ancrage territorial des deux festivals.

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Elle a été réalisée avec le module "Analyser" de Tagaday qui permet d'aller au-delà du simple volume de retombées pour explorer des indicateurs clés tels que la répartition des retombées par type de médias, la mesure de l'€-Pub ou encore l'impact.

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Afin de garantir la fiabilité et la pertinence des résultats, seuls les contenus contenant des mentions explicites des thématiques analysées ont été pris en compte. Cette approche méthodologique permet une mesure précise et ciblée du niveau de médiatisation de chaque sujet.

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